Dans la chronique "Les délateurs de profession", je relève : "très con", "extraordinairement con", "connerie" ; dans "Le bonheur à Strasbourg", on lit que la vie littéraire "fait chier" M. Matzneff. Il y a du relâchement dans la langue de cet écrivain féru de Littré.
Dans cette dernière chronique, M. Matzneff s'agace d'être "amené à dîner avec de prétendus lecteurs" dont il ne sait "même pas le nom". A-t-il donc si peu de lecteurs pour prétendre connaître le nom de chacun ?
Je profite de ma présence chez le webmaster pour préciser que dans cette phrase sur les gens dont je ne connais pas les noms je voulais simplement redire mon peu de goût pour les dîners mondains où l'on se trouve mêlé à des personnes dont on ne sait rien et auxquelles on n'a rien à dire. Je n'aime que les dîners intimes avec des êtres qui me sont chers.