J'aurais pu écrire mot pour mot cette chronique, étant moi aussi petite fille d'émigré russe.
A l'époque, dans les années 20, mon grand père vivait également dans des conditions misérables, sans allocations, ni RMI...Pour autant, il s'est très vite intégré et était très heureux de vivre en France. Heureux et fier...