La chronique à laquelle vous faîtes allusion n'était pas un texte de Gabriel Matzneff. C'était un texte de Pierre Bourgeade que celui-ci avait tenté sans succès de publier dans la presse écrite : par amitié pour Bourgeade et aussi par haine de la censure, Gabriel Matzneff avait décidé, à un moment où l'on pouvait craindre une victoire de la quakeresse de la rue Solférino, de l'accueillir sur ce site, et même de le cosigner. Mais après la défaite de Mme Royal il n'y avait plus aucune raison de maintenir ici ce texte. Si vous désirez savoir ce que Gabriel Matzneff pense de notre Taliban en jupons, lisez "Rapicolante Ségolène", publiée dans cette même rubrique des "Nouvelles chroniques de GM".