En meme temps il n'a jamais été sur la bonne voie d'après les grecs alors consolons- nous ^^
j'en profite pour demander aux sacrés "fans" de ce forum les préférences musicale de Gabriel Matzneff!
(s'il veut me répondre lui meme je suis toute disposée à le lire également biensur!)
Petit coup de gueule contre l'informatique et les "progrès techniques": quand je pense au long message que j'ai tapé il y a qq minutes et qui restera à jamais dans l'oubli à cause d'un "plantage" j'ai envie de hurler!!
Je suis heureux de constater que quelqu'un se manifeste!
En fait ,si G.Matzneff a précisé ses gouts en peinture dans"Nous n'irons plus au Luxembourg",les jugements du professeur Dulaurier,me semble-t-il,je n'ai aucun souvenir,dans ses écrits,de ses intérets musicaux.Mais je ne suis ni un fan ,ni un exégète de l'auteur.Tout au plus un lecteur attentif et admiratif du style et de la "petite musique".
Un lecteur plus spécialisé pourra surement vous répondre!
c'est ce qu'il me semble aussi! Etant musicienne je suis étonnée du peu de gout apparent de Gabriel pour cet art! Moi,quand j'écoute des pièces de piano j'ai tellement d'idées qui me viennent en tête...c'est à ce moment que j'aimerais me lancer dans l'écriture!
En parlant Sentez-vous la loi de l'inertie quotidd'écriture c'est un abandon de soi si grand, si exigeant,si peu propre à la vie dans la société actuelle...Quelle force tout de meme il doit falloir déployer le jour on l'on décide de s'y consacrer.ienne si désespérente?Pourquoi n'existe-t-il plu de merlin ou de Christ vivant pour nous conduire sur la voie? Ce serait tellement plus facile...
Je vous souhaite une joyeuse nativité d'ailleurs Gabriel!(n'étais-ce pas hier que l'on fêtait la naissance de Christ chez les orthodoxes?)
Bonsoir chers Amis matzneviens ! En tant que nouveau membre du site, j’aimerais réagir au reproche injustifié concernant la prétendue absence de références musicales dans l’œuvre de GM.
Si dans «Le Luxembourg», Alphonse Dulaurier, en effet, ne cache pas son manque de goût pour les impressionnistes - ce qui n’empêche pas GM de magnifier, dans d’autres ouvrages, les pommes de Cézanne, les fresques romaines, florentines, les toiles troublantes de Balthasar Balthus, les préraphaélites, Fragonard, Watteau, Delacroix et, last but not least, la splendeur des icônes - j’ai en mémoire de nombreux exemples qui témoignent que le monde musical fait bien partie du quotidien de GM. Dans le Luxembourg, le lecteur découvre que M. Dulaurier apprécie l’opérette (Il sifflote l’air de «Femmes, femmes, femmes» de la Veuve joyeuse en montant l’escalier et la Comtesse craque pour le sex-appeal de Haliday ! ) Puis je pense à son goût pour Mozart, Verdi, les chants orthodoxes ; ceux des dissidents russes d’autrefois; les chansons italiennes de Mamma, li Turcki ! etc. etc. etc.
Un autre exemple : dans «Boulevard Saint-Germain», le lecteur découvre que GM n’est pas un grand un fan de jazz, mais bien de Gréco et de Ferré. La liste est exhaustive et un sujet de maîtrise tel que : «Gabriel Matzneff et le besoin de musique» serait aussi passionnant à lire que «La diététique de lord Byron». A bon entendeur, bonne relecture ! Véra